Hausse des frais de notaire : Michel Barnier fait marche arrière !
Sommaire
Il y a quelques jours, le Premier ministre Michel Barnier annonçait une hausse des frais de notaire. Mais le 22 novembre, changement de cap : il a fait marche arrière et proposé des concessions majeures, surtout pour les jeunes acheteurs. On vous dévoile les détails !
La hausse des frais de notaire initialement prévue
Cependant, cette proposition a rapidement soulevé des préoccupations. Brice Cardi, président du réseau l’Adresse, a dénoncé la mesure comme un "mauvais signal", mettant en avant l'impact potentiel sur la reprise du marché immobilier. Face à ces inquiétudes, Michel Barnier a fait un pas en arrière et modifié sa position pour un certain type de profil.
Les concessions apportées et les exceptions
Face à cette inquiétude, le Premier ministre a pris un virage décisif en faveur de ceux qui achètent pour la première fois : la hausse des frais de notaire ne les concernera finalement pas. Selon une source gouvernementale citée par Le Figaro, et confirmant une information du JDD : « C’est dans les tuyaux. Les primo-accédants ont souvent peu ou pas d’apport ou d’épargne et seront les plus pénalisés par cette mesure ».
Cette révision de la hausse des frais de notaire est un véritable soulagement pour de nombreux acheteurs, en particulier les primo-accédants. C’est aussi un signe que le gouvernement entend les défis d’accessibilité à la propriété auxquels sont confrontés les jeunes ménages. Cette décision pourrait donc jouer un rôle dans la reprise du marché immobilier, offrant ainsi de nouvelles perspectives aux acheteurs potentiels.