Les taux immobiliers en Ile de France en décembre 2024
15 ans
20 ans
25 ans
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20 ans
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Sommaire
L’avis de Pretto sur les taux actuels en décembre 2024
« Le rebond du marché immobilier se confirme en cet automne 2024, même si l’incertitude politique est accrue. Que les prochains mois voient une stabilisation ou baisse des taux, les opportunités sont toujours nombreuses pour les acquéreurs dans un marché où les prix ont baissé et où le crédit est plus attractif qu’il y a un an. Avec un écart de 1 point entre les taux d’aujourd’hui et le plus haut niveau qu’on ait connu au second semestre 2023, la période commence par ailleurs à être propice à des renégociations, qui permettront aux Français concernés de faire des économies. »
Pourquoi tous ces taux immobiliers en Ile de France ?
- la localisation de votre bien
- votre profil emprunteur.
En empruntant en Ile de France, vous n'aurez pas le même taux de crédit que dans le reste de la France.
1. Projet d'achat immobilier en Ile de France : l'influence des taux régionaux
Les taux immobiliers varient d'une région à l'autre en fonction des politiques commerciales des banques régionales et locales. Comparez les taux immobiliers en Ile de France par rapport au reste de la France.
Régions | Meilleurs taux | Taux ordinaires |
---|---|---|
1. Auvergne-Rhône-Alpes | 3,41 % | 3,81 % |
2. Bourgogne-Franche-Comté | 3,28 % | 3,66 % |
3. Bretagne | 3,18 % | 3,55 % |
4. Centre-Val de Loire | 3,48 % | 3,89 % |
5. Grand-Est | 3,41 % | 3,81 % |
6. Hauts-de-France | 3,41 % | 3,81 % |
7. Ile-de-France | 3,45 % | 3,85 % |
8. Normandie | 3,25 % | 3,62 % |
9. Nouvelle-Aquitaine | 3,22 % | 3,60 % |
10. Occitanie | 3,18 % | 3,55 % |
11. Pays-de-la-Loire | 3,14 % | 3,51 % |
12. Provence-Alpes-Côte d'Azur | 3,25 % | 3,62 % |
2. Profil emprunteur : quel salaire pour obtenir un bon taux immobilier en Ile de France ?
En plus de la localisation de votre bien immobilier, les banques regardent certains critères pour définir votre taux, c'est ce que l'on appelle le profil emprunteur. Emprunter seul ou à deux, le montant de vos revenus et de votre apport ainsi que la durée de votre prêt vont faire varier votre taux.
Le niveau de vos revenus est l'un des critères majeur que les banques étudient pour vous proposer le meilleur taux en Ile de France. Un profil aux revenus élevés pourra bénéficier d'un taux plus avantageux car les banques peuvent proposer leurs propres produits d'épargne en plus du crédit immobilier.
Etat des lieux des taux de crédit en Ile-de-France
Si les taux immobiliers évoluent sensiblement d’un territoire à l’autre, il faut également prendre en compte les disparités qui existent au sein d’une même région. On vous dit tout ce que vous avez à savoir sur les taux immobiliers en Ile-de-France.
On savait déjà, sans surprise, que les prix de l’immobilier varient selon la région, la ville ou le quartier où se situe le bien. Mais il peut être surprenant de voir que les taux immobiliers, eux aussi, varient d’une région à l’autre ! On vous explique pourquoi.
Premièrement, cela dépend des politiques commerciales des différentes banques, sachant qu’il existe des banques régionales, nationales, mutualistes ou privées ayant chacune un fonctionnement spécifique.
D’une banque à l’autre, on va donc avoir des politiques commerciales très différentes, qui vont donner lieu à différentes offres bancaires.
Certaines banques vont ainsi proposer des taux immobiliers particulièrement attractifs pour pouvoir attirer les clients. Un client qui obtient un crédit immobilier dans une banque autre que la sienne, c’est avant tout un client prêt à changer de banque !Les assurances et les prêts immobiliers plus particulièrement sont en effet un excellent moyen pour les banques de gagner des parts de marché. Les taux immobiliers leur permettent donc d’augmenter leur compétitivité.
Au-delà de l’attractivité des taux, les banques peuvent attirer les clients en allégeant les conditions d’octroi du crédit. Elles sont alors un moins regardantes sur les dossiers des emprunteurs, et acceptent d’accorder des crédits malgré des taux d’endettements supérieurs aux sacro-saints 35 %.
Bien entendu, plus un ou des clients auront des revenus élevés, plus il sera simple pour eux de dépasser ce taux d’endettement tout en obtenant un crédit immobilier.
Ceci étant dit, revenus élevés ou non, dépasser le taux d’endettement généralement admis demande des bonnes capacités de négociation.
Pour savoir si votre situation professionnelle dépasse le taux d'endettement autorisé de 35 %, faites une simulation de en ligne.
Il faut également considérer que les banques régionales ont une plus grande marge de manœuvre que les banques nationales. Elles sont donc plus en mesure de proposer des taux attractifs, ce qui peut expliquer des écarts de taux importants d’une région à l’autre.
Vous l’avez compris : les différences de taux immobiliers d’une région à l’autre s’expliquent principalement par les différentes banques et leur implantation.
Il y a cependant un autre élément de taille à prendre en compte : le fait qu’à revenu égal, un emprunteur va avoir un bon ou un “très bon profil” suivant la région qu’il habite. Gagner 2 000 € par mois à Paris, ce n’est pas la même chose que de gagner 2 000 € par mois à Metz !
Les banques adaptent leurs grilles en fonction du revenu moyen et du coût de la vie dans la région, ce qui explique qu’un même profil peut bénéficier de taux immobiliers plus ou moins élevés d’une région à l’autre.
L’état de l’immobilier en Ile-de-France
Sans surprise, la région Ile-de-France présente les prix immobiliers parmi les plus élevés de l’Hexagone, avec Paris en première place du podium des villes les plus chères de France. Mais la région Ile-de-France se démarque également par les écarts de prix les plus impressionnants d’un département à l’autre !
Vision globale de la région
Avec des biens d’une valeur pouvant varier de 2 000 € le m2 dans l’Essonne à plus de 10 000 € le m2 à Paris, la région Ile-de-France se démarque par son contraste... À titre de comparaison, on oscille “seulement” entre 2 000 € et 5 000 € le m2 dans la région PACA !
On constate d’ailleurs que ces écarts de prix sont d’autant plus importants s’il s’agit d’acheter un appartement. Alors que le prix d’une maison oscille entre 1 700 et 8 900 € le m2, il peut aller de 2 000 € à 16 000 € pour un appartement.
La raison est simple : Paris, la zone la plus chère, concentre la majorité des appartements de la région.
Même tendance du côté des loyers, qui peuvent passer du simple au double selon si on vit dans un département périphérique ou en plein cœur de Paris. Alors que le loyer au m2 s’élève à 14 € le m2 à Aulnay-sous-Bois (93) il atteint les 28 € le m2 à Paris !
Pour un studio de 20 m2, on passe alors de moins de 300 € à près de 600 € de loyer mensuel. Et cela varie même en plein coeur de Paris, certains arrondissements très côtés ayant des loyers de presque 40 € le m2.
Vivre en région parisienne coûte cher, et cela se confirme au fil des ans. Les prix de l’immobilier en Ile-de-France ne cessent de monter depuis la fin des années 1990, avec une augmentation particulièrement forte depuis le début des années 2010.
En dix ans, le prix de l’immobilier en Ile-de-France a ainsi subi une augmentation de près de 28 % ! Résultat : la région Ile-de-France est accessible à l’achat pour la majorité de ses habitants.
L’immobilier à Paris
C’est à Paris que l’on trouve évidemment les prix les plus chers de la région Ile-de-France, avec un prix moyen qui dépasse les 10 000 € le m2.
On constate des écarts de prix importants au sein même du département, avec un prix moyen pouvant se situer entre 7 000 € et 17 000 € le m2 pour l’achat d’un appartement.
Ces écarts de prix sont d’autant plus importants lorsqu’il s’agit d’une maison, avec des prix pouvant osciller entre 6 500 € et 25 000 € ! C’est aussi à Paris que se concentrent les loyers les plus élevés, avec un prix moyen de 28 € le m2.
Bien entendu, certains arrondissements sont plus recherchés que d’autres. On constate ainsi que les dix premiers arrondissements, les plus centraux, sont les plus chers, avec des prix forcément supérieurs à 11 000 € le m2.
Les dix derniers arrondissements semblent plus accessibles, avec des prix parfois inférieurs à 10 000 € le m2. C’est enfin à Paris que les prix ont le plus augmenté ces dix dernières années, avec une évolution de + 45 % en 10 ans.
L’immobilier en région parisienne
Face à de tels prix, acheter un bien en banlieue parisienne semble plus accessible pour nombre de Franciliens.
Encore une fois, on constate que les prix varient significativement d’un département à l’autre, en passant par exemple de 2 900 € le m2 en Essonne (91) à 6 900 € dans les Hauts-de-Seine (92).
Sans surprise, ce sont les départements les plus proches de Paris qui affichent les prix les plus élevés, à l’exception de la Seine-Saint-Denis (93) qui affiche un prix raisonnable de 3 700 € le m2 en moyenne.
Dans ces départements, il est possible d’acheter une maison avec un prix au m2 équivalent voire inférieur à celui d’un appartement. Cela est dû en grande partie à un tissu urbain moins dense, les zones périurbaines étant généralement moins chères à l’achat que les zones urbaines.
Les villes quant à elles restent chères, bien que les prix soient encore une fois très contrastés. Il faut compter près de 10 000 € le m2 pour acheter à Levallois-Perret (92), contre seulement 3 000 € à Drancy (93).
Votre courtier immobilier vous accompagne pour trouver le meilleur taux en Ile-de-France.
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Pour trouver le meilleur taux, n'hésitez pas à faire appel à un courtier immobilier de votre région.
Etat des lieux des taux de crédit en Ile-de-France
Si les taux immobiliers évoluent sensiblement d’un territoire à l’autre, il faut également prendre en compte les disparités qui existent au sein d’une même région. On vous dit tout ce que vous avez à savoir sur les taux immobiliers en Ile-de-France.
On savait déjà, sans surprise, que les prix de l’immobilier varient selon la région, la ville ou le quartier où se situe le bien. Mais il peut être surprenant de voir que les taux immobiliers, eux aussi, varient d’une région à l’autre ! On vous explique pourquoi.
Premièrement, cela dépend des politiques commerciales des différentes banques, sachant qu’il existe des banques régionales, nationales, mutualistes ou privées ayant chacune un fonctionnement spécifique.
D’une banque à l’autre, on va donc avoir des politiques commerciales très différentes, qui vont donner lieu à différentes offres bancaires.
Certaines banques vont ainsi proposer des taux immobiliers particulièrement attractifs pour pouvoir attirer les clients. Un client qui obtient un crédit immobilier dans une banque autre que la sienne, c’est avant tout un client prêt à changer de banque !Les assurances et les prêts immobiliers plus particulièrement sont en effet un excellent moyen pour les banques de gagner des parts de marché. Les taux immobiliers leur permettent donc d’augmenter leur compétitivité.
Au-delà de l’attractivité des taux, les banques peuvent attirer les clients en allégeant les conditions d’octroi du crédit. Elles sont alors un moins regardantes sur les dossiers des emprunteurs, et acceptent d’accorder des crédits malgré des taux d’endettements supérieurs aux sacro-saints 35 %.
Bien entendu, plus un ou des clients auront des revenus élevés, plus il sera simple pour eux de dépasser ce taux d’endettement tout en obtenant un crédit immobilier.
Ceci étant dit, revenus élevés ou non, dépasser le taux d’endettement généralement admis demande des bonnes capacités de négociation.
Pour savoir si votre situation professionnelle dépasse le taux d'endettement autorisé de 35 %, faites une simulation de en ligne.
Il faut également considérer que les banques régionales ont une plus grande marge de manœuvre que les banques nationales. Elles sont donc plus en mesure de proposer des taux attractifs, ce qui peut expliquer des écarts de taux importants d’une région à l’autre.
Vous l’avez compris : les différences de taux immobiliers d’une région à l’autre s’expliquent principalement par les différentes banques et leur implantation.
Il y a cependant un autre élément de taille à prendre en compte : le fait qu’à revenu égal, un emprunteur va avoir un bon ou un “très bon profil” suivant la région qu’il habite. Gagner 2 000 € par mois à Paris, ce n’est pas la même chose que de gagner 2 000 € par mois à Metz !
Les banques adaptent leurs grilles en fonction du revenu moyen et du coût de la vie dans la région, ce qui explique qu’un même profil peut bénéficier de taux immobiliers plus ou moins élevés d’une région à l’autre.
L’état de l’immobilier en Ile-de-France
Sans surprise, la région Ile-de-France présente les prix immobiliers parmi les plus élevés de l’Hexagone, avec Paris en première place du podium des villes les plus chères de France. Mais la région Ile-de-France se démarque également par les écarts de prix les plus impressionnants d’un département à l’autre !
Vision globale de la région
Avec des biens d’une valeur pouvant varier de 2 000 € le m2 dans l’Essonne à plus de 10 000 € le m2 à Paris, la région Ile-de-France se démarque par son contraste... À titre de comparaison, on oscille “seulement” entre 2 000 € et 5 000 € le m2 dans la région PACA !
On constate d’ailleurs que ces écarts de prix sont d’autant plus importants s’il s’agit d’acheter un appartement. Alors que le prix d’une maison oscille entre 1 700 et 8 900 € le m2, il peut aller de 2 000 € à 16 000 € pour un appartement.
La raison est simple : Paris, la zone la plus chère, concentre la majorité des appartements de la région.
Même tendance du côté des loyers, qui peuvent passer du simple au double selon si on vit dans un département périphérique ou en plein cœur de Paris. Alors que le loyer au m2 s’élève à 14 € le m2 à Aulnay-sous-Bois (93) il atteint les 28 € le m2 à Paris !
Pour un studio de 20 m2, on passe alors de moins de 300 € à près de 600 € de loyer mensuel. Et cela varie même en plein coeur de Paris, certains arrondissements très côtés ayant des loyers de presque 40 € le m2.
Vivre en région parisienne coûte cher, et cela se confirme au fil des ans. Les prix de l’immobilier en Ile-de-France ne cessent de monter depuis la fin des années 1990, avec une augmentation particulièrement forte depuis le début des années 2010.
En dix ans, le prix de l’immobilier en Ile-de-France a ainsi subi une augmentation de près de 28 % ! Résultat : la région Ile-de-France est accessible à l’achat pour la majorité de ses habitants.
L’immobilier à Paris
C’est à Paris que l’on trouve évidemment les prix les plus chers de la région Ile-de-France, avec un prix moyen qui dépasse les 10 000 € le m2.
On constate des écarts de prix importants au sein même du département, avec un prix moyen pouvant se situer entre 7 000 € et 17 000 € le m2 pour l’achat d’un appartement.
Ces écarts de prix sont d’autant plus importants lorsqu’il s’agit d’une maison, avec des prix pouvant osciller entre 6 500 € et 25 000 € ! C’est aussi à Paris que se concentrent les loyers les plus élevés, avec un prix moyen de 28 € le m2.
Bien entendu, certains arrondissements sont plus recherchés que d’autres. On constate ainsi que les dix premiers arrondissements, les plus centraux, sont les plus chers, avec des prix forcément supérieurs à 11 000 € le m2.
Les dix derniers arrondissements semblent plus accessibles, avec des prix parfois inférieurs à 10 000 € le m2. C’est enfin à Paris que les prix ont le plus augmenté ces dix dernières années, avec une évolution de + 45 % en 10 ans.
L’immobilier en région parisienne
Face à de tels prix, acheter un bien en banlieue parisienne semble plus accessible pour nombre de Franciliens.
Encore une fois, on constate que les prix varient significativement d’un département à l’autre, en passant par exemple de 2 900 € le m2 en Essonne (91) à 6 900 € dans les Hauts-de-Seine (92).
Sans surprise, ce sont les départements les plus proches de Paris qui affichent les prix les plus élevés, à l’exception de la Seine-Saint-Denis (93) qui affiche un prix raisonnable de 3 700 € le m2 en moyenne.
Dans ces départements, il est possible d’acheter une maison avec un prix au m2 équivalent voire inférieur à celui d’un appartement. Cela est dû en grande partie à un tissu urbain moins dense, les zones périurbaines étant généralement moins chères à l’achat que les zones urbaines.
Les villes quant à elles restent chères, bien que les prix soient encore une fois très contrastés. Il faut compter près de 10 000 € le m2 pour acheter à Levallois-Perret (92), contre seulement 3 000 € à Drancy (93).
Votre courtier immobilier vous accompagne pour trouver le meilleur taux en Ile-de-France.
Gardez un oeil sur les taux immobiliers du moment et abonnez-vous à l'Alerte Taux.
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